Nous pouvons encore voir les rails. Parfois, elles sont recouvertes de mauvaises herbes. Nous pouvons encore voir des tunnels et des ponts. Nous avons voulu imaginer un voyage en train qui partirait du nord du Liban jusqu'au sud en suivant le littoral. Grâce au magnifique livre de Carl Stephen :"Les côtes libanaises" ,ed Aleph 2003, que nous avons déniché au Centre Culturel Français de Tripoli, nous avons pu survoler la côte Méditerranéenne depuis Akkar jusque Tyr. Ce train permetterait à des milliers de libanais de se rendre à leur travail sans le stress des embouteillages, de réduire la pollution causée par les voitures anciennes, les minibus et taxis services mal entretenus et d'encourager les locaux et les touristes d'apprécier le paysage millenaire du pays des Cèdres.
Les cheminots de Balamand.
Les cheminots de Balamand.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire